D’une image de la réalité à la réalité de l’image; une mort de l’autopoiese.
Pour une confusion des traités; un retour du cadre hors-corps qui agit comme écran sur l’individuation.
Une énergie, un moment, un état, un semblant d’autopoiese : il s’agit de regarder avec concentration. Regarder activement, avec sa main, avec toute son énergie. Se laisser absorber par la durée du regard qui continue après l’évenement à se répandre dans l’âme.
Contre l’autonomisation de représentation, il s’agit d’établir une union syntaxique entre la compréhension de moi-même dans le monde, la compréhension de mon intention et le monde lui-même. Par monde j’entends les choses qui ont existé et qui existeront, ce que je connais et ce que je ne connais pas encore, tous mes regards passés et les énergies qui les ont transformés en moi.
Regarder pour quelque chose. Regarder comme écrire,
marquer le temps avec son rythme interne. Regarder comme inscrire ses désirs et ses peur, ou alors rien.
Ne rien regarder, regarder toujours.
—abstraction de la marque—
La machine esthétique se plie une première fois -> la machine :
toutes les espèces de machine sont toujours au croisement du fini et de l’infini, au temps de la négociation entre la complexité et le chaos.
——-(S’)Individuer dans un flux incessant d’images: un chaos personnifié, l’empreinte des ruines des puzzles impossibles autour de nous; coder et décoder la représentation à travers l’automatisme et les dispositifs écosophiques. ———
Se libérer dans son umwelt, dans une lecture inclusive d’une culture sans écriture, d’une nature avec écriture.